REFRAIN
Toi, le temps, j’ai deux mots à te dire
Tu œuvres en silence, pour le meilleur, le pire
Toi le temps, on n’te voit pas venir
Constant, sans défaillance, tu glisses sur nos vies
Tu creuses tes sillons, là où tu nous vois sourire
Traces des vallées profondes, pour nos larmes, nos soupirs
Mais tu peux être aussi un ami
Quand sur nos peines tu étends, le voile de l’oubli
REFRAIN
Combien de temps perdu à se déchirer,
Alors qu’on aurait pu le passer à s’aimer
Toi, le temps, tu attends, tu as tout ton temps,
Que vienne le moment de nous dire « il est temps » !
REFRAIN